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Type d'exposition Archives: Expositions antérieures

Tribune(s)

8 avril – 30 mai 2021

SALLE FONDATION JACK HERBERT

Dominique Blain · Sorel Cohen · André Fournelle ·

Maryse Goudreau · Garry Neill Kennedy · Nadia Myre

 

Œuvres de la collection du Musée régional de Rimouski

Commissaire | Ève De Garie-Lamanque

 

 

Espace sécuritaire de réflexion, d’échanges et de débats, l’exposition Tribune(s) se veut une introduction à six pratiques artistiques actuelles engagées. Les seize œuvres sélectionnées – dont douze sont des acquisitions récentes à notre collection – abordent avec lucidité et une profonde humanité des sujets aussi complexes que le colonialisme, les droits de la personne, les scandales politico-militaires, l’identité culturelle, les politiques territoriales, le racisme systémique, les expériences traumatiques et le deuil.

Exposition-laboratoire, Tribune(s) permet d’appréhender autrement l’art actuel par la présentation, aux côtés des œuvres, d’artéfacts, d’articles de journaux et de textes législatifs, entre autres éléments de médiation. Cet aperçu des archives personnelles des artistes, ainsi que des dossiers d’acquisition préparés par la conservatrice et commissaire, facilite la contextualisation des démarches militantes mises de l’avant tout en dévoilant au regard un aspect méconnu des activités professionnelles des artistes et des muséologues.
Deux midi-conférences avec artistes invités auront lieu durant la tenue de l’exposition.
Animés par Ève De Garie-Lamanque, conservatrice de l’art contemporain et commissaire de l’exposition, ces événements en ligne gratuits seront diffusés en direct sur la page Facebook du Musée.
Les dates sont à venir. Restez à l’affût !

 

Biographie des artistes

Dominique Blain
https://dominiqueblain.com/

Dominique Blain vit et travaille à Montréal. Évitant les pièges du didactisme que l’on associe souvent à l’art politique, l’artiste aborde des thèmes comme la guerre, le racisme, l’esclavage, l’endoctrinement des masses et des enfants et les rapports de domination de toutes sortes. À partir de photographies d’archives et d’objets trouvés, Blain ravive le sens des matériaux utilisés en les sortant de la torpeur provoquée par la prolifération d’images de toutes sortes, afin d’en révéler certaines résonances idéologiques. Elle a exposé dans plusieurs villes nord-américaines, européennes ainsi qu’en Australie. Trois expositions rétrospectives majeures lui ont été consacrées, à Montréal, Régina et Calgary en 2004, à Québec, San Francisco et Rome en 1998, et à Bristol, Belfast, Londres, Edimbourg, Newcastle et Cambridge en 1997-98. Dominique Blain a réalisé plusieurs œuvres publiques au Québec, notamment aux Jardins de Métis (2007). Elle a reçu le prix Paul-Émile-Borduas, prix du Québec 2014 et le prix Les Elles de l’Art en 2009 attribué par Pratt& Whitney en association avec le Conseil des arts de Montréal.

Sorel Cohen
http://www.sorelcohen.com/
Depuis plus de quarante ans, Sorel Cohen est une figure importante de la scène artistique canadienne. Sa démarche, résolument autobiographique et féministe, tisse des liens originaux entre la photographie, la peinture et l’histoire de l’art. Dans les années 1970, elle s’est investie dans des pratiques nouvelles comme la fusion de la performance et de la photographie, une approche rarement utilisée à l’époque, et devenait actrice de sa mise en image. Cohen a participé à de nombreuses expositions collectives et individuelles, ici et à l’étranger, parmi lesquelles Le geste oublié, en 1986, au Musée d’art contemporain de Montréal, Divans maudits, au Centre culturel canadien à Paris en 2003 et plus récemment, ELLES Photographes, au Musée des beaux-arts de Montréal en 2016-17 et Photography in Canada: 1960–2000, au Musée des beaux-arts du Canada à Ottawa en 2017. Elle s’est vue confier plusieurs mandats à titre de professeure invitée dans diverses institutions d’enseignement supérieur au pays. Son œuvre fait partie de plusieurs collections publiques dont la Bibliothèque Kandinsky du Centre Georges Pompidou à Paris, le Cabinet de la photographie de la Bibliothèque nationale à Paris, le Musée des beaux-arts du Canada à Ottawa, le Musée des beaux-arts de Montréal et le Musée d’art contemporain de Montréal. Elle vit et travaille à Montréal.

André Fournelle
https://andrefournelle.com/
Né en Angleterre, André Fournelle est orphelin de guerre et est adopté au Canada à l’âge d’un an. En marge des cadres institutionnels de l’enseignement de l’art, André Fournelle fait son apprentissage artistique à travers des lectures, des recherches et des expérimentations diverses. André Fournelle commence à faire connaître son œuvre au début des années 60. Après avoir travaillé deux ans dans une fonderie industrielle et bénéficié du compagnonnage d’Armand Vaillancourt en fonderie d’art, il met sur pied la Fonderie expérimentale et collective avec Marc Boisvert. Il collabore également avec Marcelle Ferron à la recherche d’alliages de verre et de métal. Dans les années 70, il fait partie du groupe EAT (Experiments in Art and Technology), un laboratoire de création multidisciplinaire américain créé par Robert Rauschenberg. À Paris en 1994, Fournelle représente le Québec comme sculpteur aux Jeux de la francophonie. En 1999, près du pont des Arts à Paris, il réalise l’intervention Lumière et silence dont la mise à feu est assumée par le critique et historien Pierre Restany. En 2005, il mène le projet Les incendiaires sur le parvis du Centre Pompidou à Paris. Tout au long de sa carrière, André Fournelle conçoit et installe de très nombreuses œuvres d’art public au Québec, aux États-Unis et en Europe. La pertinence de son travail témoigne de son engagement politique et social.

Maryse Goudreau
https://marysegoudreau.com/
Née à Campbellton (Nouveau-Brunswick).Vit et travaille à Escuminac (Québec). Maryse Goudreau est artiste, cinéaste et chercheuse indépendante. Elle réalise des œuvres où se croisent images, documents, gestes de soin artistique et participatif. Hybride, sa création traverse la photographie, mais aussi l’essai vidéographique et photographique interactif, les dispositifs immersifs, l’art action, ou encore l’art sonore. Maryse Goudreau travaille l’image, les fonds photographiques et l’art participatif en élaborant des archives thématiques qui offrent des regards croisés, tant sociologiques que politiques et anthropologiques. Elle cherche à affranchir les images de leurs relations statiques à une histoire officielle. En 2017, elle fut la première lauréate du Prix Lynne-Cohen offert en partenariat avec le Musée national des beaux-arts du Québec. Elle fut lauréate du prix du CALQ – Artiste de l’année en Gaspésie en 2020.

Garry Neill Kennedy
Né à St. Catherines (Ontario) en 1935, Garry Neill Kennedy est un artiste, un éducateur en art et un ancien président du Nova Scotia College of Art and Design (NSCAD). Surtout connu pour ses peintures, ce qui est inhabituel pour un artiste conceptuel, il dirige NSCAD de 1967 à 1990. Son influence y est immédiate et fondamentale – il en fait une mecque de l’art conceptuel. En 2003, Kennedy a été récipiendaire de l’Ordre du Canada et, en 2004, a reçu le Prix du Gouverneur général en arts visuels et médiatiques. Kennedy a eu récemment des expositions individuelles à Printed Matter à New York, à la Art Gallery of Nova Scotia à Halifax, au Pickled Art Centre à Beijing, au Museum of Contemporary Canadian Art à Toronto et aux Jeux olympiques de 2010 à Vancouver. Ses œuvres se retrouvent dans de nombreuses collections publiques et privées, notamment la Vancouver Art Gallery, la Art Gallery of Nova Scotia, la Art Gallery of Ontario, le Museum of Modern Art (New York) et le Musée des beaux-arts du Canada.

Nadia Myre
http://www.nadiamyre.net/
Née en 1974 à Montréal, Nadia Myre est d’origine algonquine et membre de la nation Kitigan Zibi Anishinaabeg. Artiste multidisciplinaire, elle utilise la participation du public comme stratégie pour amorcer un dialogue sur l’identité, la résilience et les politiques d’appartenance. Elle est diplômée du Camosun Collège (1995) ainsi que de l’Université d’art et de design Emily-Carr (1997) et elle détient une maîtrise en arts visuels de l’Université Concordia (2002). Nadia Myre est récipiendaire de nombreux prix, notamment le Prix de la Commission autochtone de la Walter Phillips Gallery du Banff Centre for Arts (2016), le Prix Sobey pour les arts (2014), le Prix Pratt and Whitney Canada Les Elles de l’art, remis par le Conseil des arts de Montréal (2011), le Prix à la création artistique pour la région des Laurentides (2009), et une bourse du Eiteljorg Museum of American Indians and Western Art (2003). En 2017-2018, le Musée des beaux-arts de Montréal consacrait une première exposition monographique à Nadia Myre.

 

 

 

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Françoise Sullivan

Françoise Sullivan

En prolongation jusqu’au 21 mars 2021

SALLE ÉLISABETH TURGEON | SALLE FONDATION JACK HERBERT | SALLE TROIS

Commissaire:  Mark Lanctôt

Cette exposition rétrospective souligne la contribution majeure de l’artiste Françoise Sullivan à l’histoire de l’art moderne et contemporain du Québec. Elle offre aux visiteurs l’occasion de revoir ou de découvrir une artiste dont l’impact sur la culture québécoise et canadienne demeure peut-être méconnu.

Telle une chorégraphie surgie de l’imagination de Françoise Sullivan, l’exposition peut être vue comme une performance en trois mouvements. Organisée par Mark Lanctôt, conservateur au Musée d’art contemporain de Montréal, en collaboration avec l’artiste, l’exposition se déploie dans les trois salles d’exposition du Musée régional de Rimouski – une première pour l’institution, qui célébrera son 50e anniversaire en 2022.

Cette première rétrospective itinérante présente une sélection unique d’œuvres provenant de grands musées canadiens et des collections particulières, de même que des propres fonds de l’artiste – une juxtaposition de peintures, de sculptures et de chorégraphies produites au cours des sept dernières décennies. Afin d’offrir une meilleure compréhension de la contribution de Sullivan dans les divers domaines artistiques auxquels elle a participé, d’autres espaces sont dédiés à une documentation vidéographique, ainsi qu’à des documents d’archives.

Ce projet de circulation, organisé par le Musée d’art contemporain de Montréal, est financé en partie par le gouvernement du Canada.

L’exposition est accompagnée d’un catalogue illustré bilingue dans lequel figurent des textes de Mark Lanctôt, de Vincent Bonin, de Chantal Charbonneau, de Ray Ellenwood et de Noémie Solomon.

 

Une présentation de : 

 

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Ensemble c’est nous

Ensemble c’est nous

27 août 2020 – 21 mars 2021

Chargée de projet: Alice Charbonneau

Ensemble c'est nous

Un portrait de notre collectivité, une réflexion sur l’identité

Le projet communautaire et intergénérationnel Ensemble c’est nous a pour objectif d’illustrer l’importance et la richesse de notre communauté dans le contexte de la COVID-19, en créant un portrait de notre collectivité. Cent personnes ont été rencontrées et photographiées.  La démarche a permis d’initier une réflexion sur l’identité, l’inclusion et le sentiment d’appartenance dans laquelle s’inscrivent les enjeux entourant le racisme systémique.

À la manière de l’artiste Jin-me Yoon, les participant·e·s étaient invité·e·s à se faire prendre en photo sur le brise-lames devant le fleuve Saint-Laurent. Ces participant·e·s devaient définir les termes Identité et Communauté. Pour faire écho au contexte actuel, chaque participant·e était aussi photographié·e avec un couvre-visage. Des deux cents photographies composant l’exposition émergent un portrait émouvant de notre communauté, dont les différences autant que les similitudes participent à l’unité. L’artiste Fernande Forest, reconnue pour son travail d’art relationnel, a agi à titre d’accompagnatrice du projet.

Pour de plus amples informations: Ensemble c’est nous: le projet

Logos des partenaires

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Frette ou Tablette. 400 ans de bière au Québec

Frette ou Tablette. 400 ans de bière au Québec

7 novembre 2019 – 7 septembre 2020

SALLE ELISABETH TURGEON

Chargée de projet: Nathalie Langelier

Chaîne de production de bières

Anonyme, Chaîne de production, Brasserie Dawes, Lachine, Québec, vers 1920, MP-0000.587.94 © Musée McCord

 

Prendre une bière fait partie de nos habitudes : pour célébrer, décompresser ou socialiser, la bière est de mise. Malgré la place qu’elle occupe dans notre quotidien, la bière a participé, à travers les ans, au développement socio-économique du Québec.

Que l’on consomme une bière commerciale ou une bière de microbrasserie, notre bière de prédilection nous définit socialement ainsi l’exposition Frette ou Tablette. 400 ans de bière au Québec présente la bière nationaliste, la bière engagée, la bière des Glorieux…

La naissance des microbrasseries remet le territoire au goût du jour! C’est ainsi que la bière donne une vitalité à chaque village, mais surtout, nourrit la curiosité des amateurs. On brasse une centaine de bières différentes dans les régions du Bas-Saint-Laurent, de la Gaspésie, de la Côte-Nord et des Îles-de-la-Madeleine. L’exposition fait connaître aux amateurs de houblon la Route des bières de l’Est-du-Québec et ses brasseurs qui parlent avec passion de leurs métiers et produits.

Un beau voyage à travers notre histoire, en suivant la trace des bières brassées au Québec!

Une exposition itinérante produite par la Société de développement culturel de Terrebonne.

 

 

 

 

 

Invitation à visiter l’exposition

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Laurent Lévesque. Sorties dans l’espace

Laurent Lévesque. Sorties dans l’espace

Commissaire: Ève De Garie-Lamanque

20 octobre 2019 – 2 février 2020 PROLONGATION

SALLE DEUX

C’est à la jonction des espaces physique et virtuel qu’évolue Laurent Lévesque. Sous forme d’impressions numériques, de vidéos ou de sculptures, les œuvres qu’il présente dans le cadre de l’exposition Sorties dans l’espace cultivent une certaine ambiguïté concernant leur nature et leur spatialité.

Les oeuvres  oscillent sans cesse d’un état à un autre, combinant les notions contradictoires de transparence et d’opacité, de matérialité et d’immatérialité, de naturel et de technologique.

En brouillant les repères spatiotemporels et en mêlant les codes, Lévesque réunit subtilement les conditions nécessaires à une restructuration de notre représentation du monde. Il nous invite à nous extraire conceptuellement du monde afin de l’observer sous un jour nouveau.

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Daniel Corbeil. Module de survie: une écofiction

16 juin – 6 octobre 2019

SALLE DEUX

 

Exemple d'un module de survie installé dans un désert.

 

Avec l’installation Module de survie, Daniel Corbeil propose une écofiction qui donne l’occasion au visiteur de faire l’expérience d’un habitat futuriste modulaire. Celui-ci, telle une arche de Noé, vise à assurer la survie de ses occupants dans un avenir rendu incertain par les changements climatiques.

En circulant à l’intérieur de cette installation, le visiteur sera à même de côtoyer divers appareillages permettant l’autonomie alimentaire et énergétique. Avec cette construction, qui n’est pas sans évoquer un module lunaire d’apparence organique, l’artiste propose une solution ludique aux problèmes d’habitation de demain. Il revient, toutefois, au visiteur de déterminer si cette écofiction est en fin de compte utopique ou dystopique.

Une exposition mise en circulation par la Salle Alfred-Pellan de la Maison des arts de Laval.

 

Image : © Daniel Corbeil, Module de survie

 

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S O L A R I U M

3 juin 2019 – 26 janvier 2020

SALLE TROIS

 

 

Première canadienne.

Depuis près de dix ans, l’Observatoire de la dynamique solaire (SDO) étudie en temps réel les variations de notre Soleil : filaments, éruptions solaires, éjections de masse coronale, transits lunaires, etc. Réalisée et mise en circulation par le Goddard Space Flight Center de la NASA, S O L A R I U M est une installation vidéo in situ réalisée grâce aux images ultra-haute définition collectées par la sonde SDO.

 Photo : NASA | Goddard Space Flight Center | Solar Dynamics Observatory

 

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Bâtisseurs des profondeurs: Oeuvre et perspectives. Scaphandrier: un métier à découvrir

Du 28 février au 24 mars 2019

SALLE TROIS

Commissionnaires: l’Institut maritime du Québec (IMQ), le Centre de formation en plongée professionnelle (CFPP) et la Formation continue de l’Institut maritime du Québec

 

 

 

 

 

Dans le cadre des festivités entourant leur 75e et 25e anniversaire, l’Institut maritime du Québec (IMQ), le Centre de formation en plongée professionnelle (CFPP) et la Formation continue de l’Institut maritime du Québec sont fiers d’annoncer le lancement d’une exposition photo entièrement vouée au métier de scaphandrier.

Par cette initiative, ces institutions souhaitent faire découvrir un métier encore aujourd’hui méconnu de la population, celui de scaphandrier. Elles souhaitent faire connaître les différentes facettes de cette occupation atypique et donner l’occasion à la population de découvrir une réalité autrement inaccessible. De très nombreuses photos, des artefacts ainsi qu’une panoplie d’informations permettront aux visiteurs de tous âges de parfaire leur connaissance et d’en apprendre davantage sur le métier de plongeur professionnel.

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L’Éclatement de l’image

4 octobre 2018 – 27 janvier 2019

SALLE DEUXCommissaire : Ève De Garie-LamanqueExpérimental et anticonformiste, l’art vidéo présente l’image en mouvement sous un autre jour. Outl’obligation de raconter une histoire qui se déploie dans le temps, avec un début, un milieu et une fin. Outl’idée que le dispositif cinématographique doit se dissimuler au regard du spectateur. In le jeu et l’autodérision. In la remise en question de notre rapport à l’image
publicitaire, photographique, télévisuelle, artistique ou filmique.© Peter Fischli et David Weiss, Der Lauf der Dinge (Le Cours des choses), 1987 | Image : Gracieuseté d’Icarus Films
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Tom Jacques | Trajet pas pareil

17 juin – 4 septembre 2018

Sur le parvis du Musée

Tom Jacques explore, dans Trajet pas pareil, le son qui émerge de mécanismes-objets créés et leur rapport à la vitesse et au rythme de manipulation. Conçue et élaborée dans le cadre du Festival international de musique actuelle de Victoriaville, cette œuvre s’inscrit dans la continuité du dispositif d’une création précédente Comment où le son. Inspiré du concept de rapidité différenciée du géographe Jean Ollivro dans le livre L’homme à toute vitesse parue en 2000, Tom Jacques poursuit une réflexion sur le concept de la « rapidité différenciée » et sur l’impact de la vitesse, de l’accélération du temps à l’aide des technologies. L’artiste du son crée un mécanisme qui nous permet d’explorer les variables de la perception sonore, que ce soit par la vitesse de manipulation des manivelles, du rythme ou même de la coordination des mouvements et des silences. L’œuvre se présente telle un laboratoire d’exploration tant dans sa forme matérielle que par ses possibilités de performance.

Tom Jacques, Trajet pas pareil (détail), 2018

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